« Environnement: la nouvelle stratégie de la
- Les vérités sur le projet Pizzorno »
Réponse à l'article de La Montagne en date du 5 mai 2010
Un adhérent de l'ASEB, membre du CA, répond à l'article de La Montagne en date du 5 mai 2010.
Voir l'article de La Montagne ICI
Réponse Alexandre téléchargeable ICI
Commentaires
C'EST UNE EXCELLENTE REPLIQUE, remplie de compétence, de connaissances techniques actualisées, d'ojectivité et de pertinence. Elle démontre à l'évidence que les Pizzorno pratiquent l'esbroufe, la galéjade méridionale pour séduire, pour avoir un pied dans la place, ensuite se sera comme au Cannet des Maures. Dans le Var, ils obtiennent du préfet toutes les autorisation d'extension avec beaucoup de complaisance. Ils auront avec la même facilité l'autorisation de receullir des déchets dont personne ne veut dans le cadre de la Loi Sérot pour optimiser la centaine d'hectares dont ils ont la maitrise foncière. Le tout avec l'approbation silencieuse de nos" amis" du Velay qui préférent que leurs ordures soient amoncelées chez nous.
Il est quand même surprenant qu'un journal comme La Montagne cautionne en y apposant sa signature les déclarations Pizzorno sans respecter le contradictoire représenté sur le Brivadois par l'ASEB, association sérieuse, réfléchie, compétente, bien structurée, entourée de conseillers de haut niveau dans cette matière, forte de la confiance de tous les élus du Brivadois et de celle de plus de 5800 opposants.
Les auvergnats du Brivadois ont une solide réputation de bon sens et de méfiance. Ils ne se laisseront pas séduire par un projet aussi dangereux pour eux même et leurs enfants. Le solaire, les palmiers, le restaurant du projet, les visites guidées par des "guides conférenciers" , les promesses de "rémunérations" latteuses... , ne tes atteindront pas. Le Brivadois n'est pas à vendre au détriment de sa qualité de vie, pour satisfaire l'avidité de quelques personnes pour lesquelles "l'argent n'a pas d'odeur".
Alain Berchebru de Foucaud.