En tant que membre de l'ASEB (ayant participé à la rando) et fidèle lecteur abonné à votre journal, je dois reconnaître qu'il est possible qu'il soit resté quelque "enrubalise" sur le parcours (Je suis favorable à ce que cet oubli soit réparée si tel est vraiment le cas ) mais cela n'a rien à voir avec les déchets qui voleront au vent aux alentours du site de Vazeillette si Pizzorno installe sa Méga-décharge.
Question : aviez-vous vérifié l'état des lieux avant la randonnée? Si oui, vous faites preuve d'immensément d'attention en ce qui concerne l'environnement et je m'étonne, monsieur Jamécontent, que vous ne rejoigniez pas l'ASEB !
Vous qui êtes journaliste à La Ruche, je me permets de vous décerner aussi une palme spéciale quant à l'approximation de votre orthographe.
Vous écrivez " C'est là que le bas blesse" au lieu de "C'est là que le bât blesse", ce qui signifie : "Ceci est la cause d’une peine ou d’une souffrance."
L'origine de l'expression :
L’expression apparaît dès le milieu du XVe siècle en référence aux bâts que l’on posait sur le dos des mulets et sur lesquels on accrochait les charges qu’ils transportaient. Ainsi, les bêtes dont le bât était mal fixé ou trop chargé avaient des plaies qui les faisaient souffrir. Dire "C’est là que le bât blesse" revient donc à dire que l’on a trouvé la cause d’une souffrance (psychologique en général), ou le point sensible d’une personne.
Allons, monsieur Jamécontent , j'espère que vous n'avez pas trop les chevilles qui enflent dans vos bas. Il existe une solution: les bas de contention!
Quant aux mulets, laissons-leur leurs bâts !
Humoriste Monsieur JB ? Expert de l'orthographe et de la langue française assurément ! Maître dans l'Art de changer de sujet également !
Donneur de leçons peut-être aussi... Nettoyez d'abord devant votre porte Monsieur ! La remarque de Mr. Jamécontent est justifiée : il faut être exemplaire si vous voulez rester crédible. Nous sommes tous contre les Méga décharges et nous n'aimons guère l'arrogance des "PIZZORNO" et autres flibustiers du "business" des déchets, mais ne prêtons pas le flanc à la critique.
Soyez mieux organisés dans vos actions et votre communication. Faire amende honorable vous aurait grandi...parler des ânes bâtés nous éloigne du vrai sujet et profite à ceux que nous combattons.
Environnementalement vôtre.
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Bonjour monsieur Jamécontent.
En tant que membre de l'ASEB (ayant participé à la rando) et fidèle lecteur abonné à votre journal, je dois reconnaître qu'il est possible qu'il soit resté quelque "enrubalise" sur le parcours (Je suis favorable à ce que cet oubli soit réparée si tel est vraiment le cas ) mais cela n'a rien à voir avec les déchets qui voleront au vent aux alentours du site de Vazeillette si Pizzorno installe sa Méga-décharge.
Question : aviez-vous vérifié l'état des lieux avant la randonnée? Si oui, vous faites preuve d'immensément d'attention en ce qui concerne l'environnement et je m'étonne, monsieur Jamécontent, que vous ne rejoigniez pas l'ASEB !
Vous qui êtes journaliste à La Ruche, je me permets de vous décerner aussi une palme spéciale quant à l'approximation de votre orthographe.
Vous écrivez " C'est là que le bas blesse" au lieu de "C'est là que le bât blesse", ce qui signifie : "Ceci est la cause d’une peine ou d’une souffrance."
L'origine de l'expression :
L’expression apparaît dès le milieu du XVe siècle en référence aux bâts que l’on posait sur le dos des mulets et sur lesquels on accrochait les charges qu’ils transportaient. Ainsi, les bêtes dont le bât était mal fixé ou trop chargé avaient des plaies qui les faisaient souffrir. Dire "C’est là que le bât blesse" revient donc à dire que l’on a trouvé la cause d’une souffrance (psychologique en général), ou le point sensible d’une personne.
Allons, monsieur Jamécontent , j'espère que vous n'avez pas trop les chevilles qui enflent dans vos bas. Il existe une solution: les bas de contention!
Quant aux mulets, laissons-leur leurs bâts !
Humoristiquement vôtre.
Humoriste Monsieur JB ? Expert de l'orthographe et de la langue française assurément ! Maître dans l'Art de changer de sujet également !
Donneur de leçons peut-être aussi... Nettoyez d'abord devant votre porte Monsieur ! La remarque de Mr. Jamécontent est justifiée : il faut être exemplaire si vous voulez rester crédible. Nous sommes tous contre les Méga décharges et nous n'aimons guère l'arrogance des "PIZZORNO" et autres flibustiers du "business" des déchets, mais ne prêtons pas le flanc à la critique.
Soyez mieux organisés dans vos actions et votre communication. Faire amende honorable vous aurait grandi...parler des ânes bâtés nous éloigne du vrai sujet et profite à ceux que nous combattons.
Environnementalement vôtre.