1.Le vendredi, mai 21 2010, 19:06
par Berchebru de Foucaud
CE DOSSIER NE DOIT PAS PROSPERER.
Les réponses données par la Présidente de l'ASEB et par le Conseiller Général sont d'une telle pertinence, d'une telle force de conviction qu'ils resteront sans contradiction sérieuse. Aussi, l' Etat doit mettre fin de toute urgence à ce dossier d'esbroufe. Les préjudices générés par cette galéjade sont déjà suffisament graves par les perturbations, les angoisses, les inquiétudes de la population Brivadoise et de leurs élus. Qui peut croire en Auvergne que sur un amoncèlement d'ordures ou dans son environnement direct la population pourra circuler, se restaurer, participer à des visites guidées, des séminaires..Le tout enrobé de solaire, d'odeurs, de biogaz, de lixiviat et plus tard de fruits à la saveur d'huile de vidange Certainement pas les quelques personnes responsables de nos malheurs par avidité, pour lesquelles "l'argent n'a pas d'odeur" . Elles iront dés le premier gros chèque encaissé respirer ailleurs l'air frais.
L' Etat a tous les éléments juridiques, chiffrés, d'opportunité pour faire cesser ce trouble au plus vite.
Alain Berchebru de Foucaud.
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CE DOSSIER NE DOIT PAS PROSPERER.
Les réponses données par la Présidente de l'ASEB et par le Conseiller Général sont d'une telle pertinence, d'une telle force de conviction qu'ils resteront sans contradiction sérieuse. Aussi, l' Etat doit mettre fin de toute urgence à ce dossier d'esbroufe. Les préjudices générés par cette galéjade sont déjà suffisament graves par les perturbations, les angoisses, les inquiétudes de la population Brivadoise et de leurs élus. Qui peut croire en Auvergne que sur un amoncèlement d'ordures ou dans son environnement direct la population pourra circuler, se restaurer, participer à des visites guidées, des séminaires..Le tout enrobé de solaire, d'odeurs, de biogaz, de lixiviat et plus tard de fruits à la saveur d'huile de vidange Certainement pas les quelques personnes responsables de nos malheurs par avidité, pour lesquelles "l'argent n'a pas d'odeur" . Elles iront dés le premier gros chèque encaissé respirer ailleurs l'air frais.
L' Etat a tous les éléments juridiques, chiffrés, d'opportunité pour faire cesser ce trouble au plus vite.
Alain Berchebru de Foucaud.